Résumé :
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Ce texte présente plusieurs observations cliniques avec hospitalisation dans les suites d’actes traumatiques, de violences faites aux plus vulnérables : enfants, adolescents, femmes. Cette violence est multiple : violence de la morale associée à l’anonymat des accouchements sous X, violence de la justice liée au constat d’impunité qui bénéficie aux agresseurs. Comment permettre le soin psychique, qui dépend fortement de la protection sociale et familiale, et donc de l’organisation de la défense des plus faibles, dont les enfants ? Notons ici la préconisation d’une écoute des victimes, de l’accueil de la parole comme premier temps du soin psychique dans le cadre de traumatismes.
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