Résumé :
|
Le psychothérapeute de patients souffrant de stress post-traumatique, résultant d’attentats ou d’agressions sexuelles, met en avant l’apport spécifique et complémentaire d’une indication en psychomotricité. L’auteur expose comment et pourquoi une telle prise en charge pluridisciplinaire répond à une nécessité thérapeutique. Il constate que la psychomotricité remet en jeu la corporéité et rétablit la continuité psychocorporelle, là où les effets d’une psychothérapie rencontrent des limites liées à l’état dissociatif. Les résultats escomptés montrent comment ces deux prises en charge, verbale et non verbale, s’articulent et se potentialisent.
|