Type de document : | texte imprimé |
Titre : | Portes ouvertes sur Freud |
Auteurs : | / James STRACHEY / Michel GRIBINSKI , trad. |
Editeur : | Paris : Fario, 2020 |
Importance : | 690 p. |
Collection : | Le silences des sirènes |
ISBN/ISSN/EAN : | 979-10-91902-62-5 |
Format : | 690 p. / 24 cm |
Langues: | Français |
Langues originales: | Anglais |
Résumé : |
Présentation de l'éditeur :
James Strachey, traducteur de la très fameuse Standard Edition, version anglaise des œuvres complètes de Freud, a accompagné son geste d’édition d’un appareil critique inégalé — introductions, notes, documents — qui fait aujourd’hui référence. Ce sont ces belles et rigoureuses « portes ouvertes sur Freud » que Michel Gribinski livre pour la première fois en français. Il ne s’est pas arrêté à la traduction et offre pour chaque livre ou article de Freud introduit par Strachey un texte de commentaire, d’investigation, et surtout d’invitation à la lecture. I — L’amour, la guerre, la mort Comment la sexualité et la mort sont-elles liées ? C’est la question du combat entre les pulsions de vie et de mort. II — Entre civilisation et culture. Mythe, religion, histoire, littérature Qui, de l’homme, de la civilisation et de la culture construit l’autre, qui est à son service ? À quelle illusion, à quel refoulement, à quelles croyances cette construction est-elle redevable ? C’est la question de la créativité humaine. III — La méthode, née de l’oubli et du rêve Comment se peut-il que les souvenirs, les rêves, et leurs oublis, que toute une vie négative ait inventé une méthode de soins et un mode de pensée absolument neufs ? C’est la question de la découverte et de son champ. IV- Pour introduire la psychanalyse Par où commence le corpus de la psychanalyse, son grand corps ? Et si ce n’était qu’à la fin de tout un parcours que l’on pouvait la présenter, et introduire aux travaux majeurs de la théorie — à la métapsychologie ? Car, comme dans la chanson, quand c’est fini, ça recommence. Le propos de Strachey, direct, savant mais non jargonnant, non hagiographique suppose un lecteur libre et curieux, auquel est proposée une « situation » précise de chaque texte. Les présentations de Michel Gribinski viennent en contrepoint : souvent se saisissant d’un point, d’une question, elles n’assènent pas davantage une leçon définitive de l’œuvre mais s’y confrontent, l’interrogent et sont interrogées par elle, tout en laissant le lecteur à sa propre découverte. Car tel est le principe de ces lectures critiques : Freud appartient à ses lecteurs. |
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|---|
10022018 | STR | Ouvrage | BSF Paris | ψ Réserve : Ouv. A-Z | Consultation sur place |