Résumé :
|
Il s’agirait ici de penser, à l’occasion du dépliage de quelques fragments d’une courte analyse, un lien déliant qui noue psychose et violence organisée dans certaines de ses modalités. L’histoire de cette jeune femme donnerait à entendre – à travers son histoire traumatique et forclose, soit le génocide amérindien – les intensités, les flux et les devenirs des nouages mouvants du sujet dans son rapport aux micropolitiques qui le traversent. Les discontinuités catastrophiques qui jalonnent la survie du peuple de ses ancêtres agissent au niveau des pulsions destructrices avec une telle violence qu’elles froissent de manière anarchique les plis de sa psyché.
|