Abstract:
|
La préface de Madeleine Rebérioux pose, de manière très claire, la question de la validité du tout dire et de la transparence : si celle-ci se justifie dans le domaine de la politique, il n’en est pas de même dans la vie privée. « Être homme, ce n’est pas seulement être citoyen ». Mais, conclut-elle, c’est « aux acteurs de la vie civique de parler : partis, syndicats, associations, à eux de définir les règles, à eux de dire que l’exigence de la transparence peut ne pas être totalitaire. »
|