Résumé :
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Peur du noir, peur de l’eau, peur du loup, les enfants connaissent ces peurs et la terreur qu’elles peuvent parfois provoquer. Les adultes se rappellent des leurs ou les ont oubliées Elles sont souvent vécues comme le signe d’une fragilité. Certains tentent de les cacher, les dire rendrait encore plus vulnérables, d’autres cherchent à les apprivoiser en réclamant des histoires pour trembler ou en regardant des films d’horreur.
La peur souvent attribuée à un objet est-elle un passage nécessaire dans la construction du psychisme ? Est-elle protectrice d’un narcissisme encore fragile ? Quelle différence peut-on faire entre : peur, terreur, angoisse, phobie ?
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