Résumé :
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Compte tenu de la difficulté à habiter un lieu à visée de réinsertion sociale et des ancrages à des territoires urbains liés aux pratiques de survie, nous interrogerons les effets et les fonctions psychiques de la ville vécue et des pratiques qui y ont cours dans l’errance. Dans l’arpentage d’un territoire, le sujet se soutiendra de son environnement urbain : les éléments non-métabolisé du psychisme sont déposés au cours de la marche (ou autres pratiques de rues) sur les composants du territoire, celui-ci renvoyant des signes en retour. C’est dans ce territoire que peut s’aménager une rencontre avec un clinicien.
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