Résumé :
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L’auteure expose l’existence de deux fonds documentaires de la SPP. L’un se trouve aux Archives nationales et couvre la période 1950-1997 et l’autre, situé dans les locaux actuels de la Société couvre la même période et des pièces plus récentes. Comment ces archives ont-elles été constituées et exploitées ? L’article expose certaines des problématiques liées à la transformation d’une masse documentaire en archives exploitables. Toutefois, l’archive n’est pas le fait. L’analyse critique d’un livre récent fondé en grande partie sur le fonds SPP des Archives nationales montre les limites d’une élaboration où les archives sont confondues avec des preuves au sens juridique, et non pas historiographique.
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