Résumé :
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À partir de différents travaux de recherche l’auteur propose l’hypothèse selon laquelle la danse, celle des ballets en particulier, mais aussi celle des formes de danse plus populaire comme la breakdanse, le R&B, etc., « raconte une histoire », raconte l’histoire. Il s’intéresse plus particulièrement aux ballets et danses qui tentent d’exprimer des expériences archaïques éprouvées et vécues sous des formes qui précèdent ou n’ont pas pu avoir accès au langage verbal, qui sont « en deçà des mots » donc. Il s’agit d’expériences qui ont eu un caractère plus ou moins traumatique, la danse ayant alors pour fonction de leur fournir une forme intégrable dans la subjectivité grâce à la prime d’esthétique qu’elle rend possible.
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