Abstract:
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La maladie d’Alzheimer va altérer le langage, les praxis, le jugement, la communication ainsi que les relations aux proches et au monde environnant. Pour autant, nous montrerons que les malades gardent jusqu’au bout une capacité narrative et ne doivent pas être assignés aux pertes cumulées apparentes de leur maladie. Partant d’une présomption de compétence chez les malades d’Alzheimer, l’auteur s’appuiera sur sa pratique clinique, philosophique et pédagogique de la médecine narrative, pour donner des clés de résilience possible au travers du concept d’éthique des petites perceptions.
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