Résumé :
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L’impact traumatique souvent lié à des manœuvres perverses narcissiques de l’environnement humain attaque la contenance de l’objet traumatisé et crée un excès d’excitation ainsi qu’une disqualification. Le traumatisme, le plus souvent continu, détermine une défantasmatisation traumatique productrice de fantasmes-non-fantasmes à l’origine d’agirs, de délires, de perversions ou de somatisations. Dévoiler ces interactions en partie transsubjectives est nécessaire aux diverses approches thérapeutiques, qu’elles soient individuelles, familiales ou groupales.
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