Résumé :
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Comment expliquer le grand retour des ancêtres en psychothérapie ? Freud n'ignorait pas leur importance : chacun de nous n'est pas seulement déterminé par le triangle papa-maman-bébé, mais aussi par une cascade d'influences venues de son arbre généalogique. Certes, le fondateur de la psychanalyse avait assez à faire avec l'oedipe, et c'est consciemment, selon certains, qu'il aurait remis l'étude des ascendances à plus tard. Beaucoup plus tard. Il aura fallu attendre un siècle pour que la dimension transgénéalogique soit vraiment reconnue par les « psy ». Et brusquement, cette reconnaissance prend l'allure d'un mouvement. Sur le thème« où que vous soyez, vous transportez votre famille avec vous bénissez-la... mais libérez-vous-en ! », la psychogénéalogie émerge dans de nombreuses pratiques et écoles. C'est à une large présentation de celles-ci qu'est consacré J'ai mal à mes ancêtres, sous la forme de sept entretiens avec des acteurs majeurs de ce mouvement : Pr Anne Ancelin Schützenberger, Alexandro Jodorowsky, Bert Hellinger, Didier Dumas, Chantal Rialland, Serge Tisseron et Vincent de Gaulejac.
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