Résumé :
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À la mort de Ferenczi, son ami écrivain D. Kosztolányi lui rend un hommage émouvant. Il évoque sa personnalité sociable, attachante, juvénile, dont la curiosité, toujours en éveil, le faisait s’intéresser à tout, à l’art, la littérature, aux jeux, au folklore... Il le présente aussi aux lecteurs du Nuygat comme un chercheur inquiet, faisant une place au doute, et dont l’influence s’étend, avec celle de Freud, sur le plan international. Ferenczi, engagé dans le combat pour la cause analytique, s’est occupé aussi bien des « affaires extérieures », comme Freud les appelait, (création de l’Association psychanalytique internationale) que de théorie (dont l’originale Thalassa) ou de formation analytique.
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