Résumé :
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Dans son introduction, Catherine Potel repart des origines de la psychomotricité qui, dès l’énoncé de son titre, met au centre de son objet d’étude toute la question de la complexité de l’humain. Elle insiste sur la première des mises en sens de ce « métier à tisser » - quasi artisanal » par la simplicité des médiations psychocorporelles proposées aux patients - celle d’une résistance au clivage corps psyché qui menace tous ceux qui souffrent, dans leur corps ou dans leur psyché. La globalité de l’être est l’ancrage même de la psychomotricité.
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