Résumé :
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Sous l’apparente immobilité de l’image, une multitude de fantasmes – déplacés, condensés, transformés – se fomente en secret pour paraître au grand jour si le sujet se laisse travailler par sa propre parole. Appelé par la règle de l’association libre de pensées et d’images, une volubilité imaginante pourrait bien faire apparaître la mort et le sexuel (tout pulsionnel inassimilable) de telle façon qu’ils en deviennent des objets esthétiques. Quand l’angoisse se trouve transmuée en objet esthétique, alors c’est que la cure (ou l’écriture) est une affaire qui marche.
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