Résumé :
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Anaïs Nin en 1958 disait : « écrire c’est parler avec les autres, c’est le portrait des choses que je ne veux pas perdre. » Voici une incursion à la première personne au pays des mécanismes thérapeutiques à la fois personnels et universels de l’écriture. L’écriture intime, l’écriture analytique, le journal de cure, la cure qui transforme le rapport à l’écriture et la sublime pour aboutir à une écriture autre, filmique cette fois-ci. Écriture filmique qui fera avancer la cure au point d’en amener son auteur à devenir thérapeute. La lecture de cet article peut être assortie du visionnage du film en question dont l’auteur donne le lien en fin d’article.
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