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Résumé :
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Au-delà de sa fonction de démarcation, intuitivement repérable, la notion de frontière trouve sa pertinence pour la psychanalyse en ce qu’elle est tout autant un agent de la liaison que de la séparation. Ce qui est patent dans la clinique.
À l’appui de sa définition en topologie générale puis de la topologie des surfaces de Lacan, notre article se propose ainsi de mettre en valeur le caractère très singulier de la frontière chez l’être parlant : être de frontière, autre côté menaçant, repli et réversion, frontière ponctuelle, bord radicalement infranchissable, telles sont les variétés de la frontière subjective que nous évoquons.
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