Résumé :
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Nous rapportons le cas d’un jeune patient suivi depuis 10 mois pour une phobie sociale et qui a présenté, après deux mois de traitement par la paroxétine, une dysurie d’installation progressive, compliquée d’une rétention aiguë des urines motivant un arrêt et changement de traitement par l’escitalopram. L’origine iatrogène liée à la prise de la paroxétine a été retenue après élimination des autres étiologies possibles de rétention des urines particulièrement infectieuses, traumatiques ou tumorales.
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