Résumé :
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Les mutations sociétales défendent mieux du viol la population féminine par ses lois et le dispositif d’accueil des plaintes. À la puberté, le discord entre les deux sexes est majeur, du fait de leur différence anatomique : les garçons veulent faire la preuve de leur virilité en « couchant », tandis que les filles sont plus réticentes (virginité, crainte de la douleur). Les notions d’emprise, de viol et de traumatisme seront abordées. Les déconvenues de ces relations se judiciarisent, au point que la plainte comme menace ou punition tend à devenir un nouvel outil pour les jeunes filles.
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