Résumé :
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L’énigme du bonheur s’est posée à Freud avant même la fondation de la psychanalyse, trouvant progressivement sa signification au cours du développement de celle-ci, attachée qu’elle est à l’avènement du sujet et à son devenir pulsionnel, au point que le savant envisagera l’existence d’une « pulsion de bonheur » en 1924, puis offrira au monde six ans plus tard une réflexion magistrale sur les multiples voies et tentatives d’accès à la félicité. Ce sont les aléas et le cheminement de cette construction de la notion de bonheur que le lecteur est invité à emprunter ici.
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