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Résumé :
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La problématique et les différentes modalités thérapeutiques des personnes présentant une pathologie de l’ordre de l’autisme ou des psychoses infantiles, nous amènent bien souvent à effectuer un travail intersubjectif autour de la question de la corporéité. L’auteur propose une présentation non exhaustive de la pensée épistémologique autour du corps, et plus particulièrement, en termes de contact par le toucher. Pour ce faire, il soulignera les positions que la psychanalyse a pu entretenir tout au long de son histoire avec cet objet d’étude. Également, l’auteur illustrera ses propos par deux cas cliniques, afin de questionner le développement d’une telle étape psychocorporelle dans le processus thérapeutique.
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