Résumé :
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« Un homme sans pensée est comme un oiseau qui n’a qu’une aile, cloué au sol. »
C’est avec insistance que les adolescents nous demandent de les aider à sortir de leur souffrance, qu’ils peuvent exprimer de façon bruyante ou silencieuse. Les adultes ne devront pas s’absenter de leur rôle de « passeur ». Une institution ne pourra tenir sa qualité de soignante que de la construction, du partage et de l’entretien constant et obstiné de son « identité » pour aider ces adolescents qu’elles accueillent à voler, un jour, de leurs propres ailes…
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