Résumé :
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Ce virus a réveillé la conscience de notre condition humaine en nous projetant sur le devant de la scène mondialisée pour y découvrir la précarité du vivant dans son enveloppe humaine sans recours à un Autre secourable. La clinique du libéralisme ou la philosophie clinique ne prendra pas en charge ce réel qui fait obstacle à toute politique du soin, tout en le considérant comme un fait social global. Une approche clinique de ce réel, au-delà de l’horizon de nos connaissances, ne peut se faire qu’à travers un soin global pour juguler la mort par l’élan vital.
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