Resumen:
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Partant d’un poème en prose de Stéphane Mallarmé, mon texte expose les effets du langage, eux aussi souvent démoniaques, qui peuvent frapper un écrivain quand il explore, par son écriture, le champ incertain entre le dicible et l’indicible, le symbolique et le réel (au sens lacanien des termes). Ma lecture du texte de Mallarmé l’associe à des textes de Sigmund Freud, de Jacques Lacan et de Franz Kaltenbeck, à des films d’Alfred Hitchcock et d’Heinz Emigholz et le met également en rapport avec l’œuvre de Rolf Dieter Brinkmann, Schnitte (Hambourg, 1988).
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