Abstract:
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L’auteur explore dans quelle mesure toute institution, quelle que soit son organisation, présente des aspects ou des caractéristiques au pouvoir phobogène. L’autorité de ceux qui dirigent l’institution, soit ès qualité soit pour avoir pris indirectement le pouvoir, peut activer chez chaque personne qui y travaille un système imagoïque et faire vivre l’institution comme une dictature, une dévoreuse de temps et d’énergie. Le rapport que chacun entretient au pouvoir se trouve questionné sur la scène institutionnelle. L’emprise de l’encadrement peut susciter d’authentiques réactions claustrophobiques. L’institution apparaît alors comme dévorante et castratrice : un ogre.
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