Résumé :
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L’auteur critique fermement la notion devenue courante de bientraitance et la qualifie de “novlangue”, dérivée des méthodes de management de l’industrie. Les nouveaux dirigeants des institutions pour la protection de l’enfance utilisent des termes qui tuent la relation intersubjective et personnelle et entrainent des effets pervers importants. Notamment, ces méthodes ne tiennent pas compte des relations dissymétriques entre enfants, parents et professionnels. L’auteur plaide pour des réunions avec une réelle parole libérée.
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