Abstract:
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La question de la jouissance féminine s’est d’abord posée intimement à Marie Bonaparte en termes de lieu anatomique : une conception dont son mentor, Gustave Le Bon, est l’un des représentants, avant que la princesse, avec Freud, ne fasse la découverte de l’existence d’une psychosexualité en mesure de rendre compte des aléas du plaisir par les avatars du développement libidinal. C’est cette histoire personnelle, enchâssée dans l’histoire du savoir sur la sexualité, qui se trouve restituée ici.
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