Résumé :
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Pour traiter du tact contre-transférentiel, l’auteur insiste sur la nécessité pour l’analyste de cultiver une attitude interne qui lui permette de s’ajuster à l’interface des transferts, pour mieux définir la ligne élastique sur laquelle doivent se régler ses interventions. Pour réussir à déceler cette disposition ajustée, l’analyste devra se laisser gagner par la temporanéïté singulière de la transférance féminine, laquelle opère par imprégnation directe pour mieux distiller transfert d’existence et/ou transfert d’inexistence.
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