Résumé :
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À partir de certains textes de Winnicott, et de façon non exhaustive, nous essayons de montrer combien sa pensée se situe dans la continuité de celle de Melanie Klein (dont il se considère être l’« élève »), mais aussi comment elle s’en différencie, notamment, quant au rôle attribué par Klein à la pulsion de mort dans les phénomènes de destructivité, phénomènes que Winnicott étudie sous un autre angle. Mais aussi, quant à la genèse du faux self, l’un des apports essentiels de Winnicott à la clinique psychanalytique.
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