Résumé :
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Les signes de « l’autre en soi » rejetés, haïs, sont multiples, mais toujours radicalement pesants et encombrants, depuis la ressemblance physique aussi classique qu’insupportable, jusqu’aux atteintes plus sérieuses telles les dysmorphophobies et autres anorexies, où c’est le corps tout entier qui est en jeu. L’obsession du corps porté à son paroxysme concerne très directement le lien avec la généalogie. La focalisation sur un point spécifique d’un empêchement majeur fixé sur une partie du corps devient alors l’émetteur de la haine, du dégoût, du rejet de ce que l’on est par la naissance.
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