| Type de document : | texte imprimé |
| Titre : | Une femme a passé : méditation sur la Gradiva |
| Auteurs : | / Christian JOUHAUD |
| Editeur : | Paris : Gallimard, 2019 |
| Importance : | 133 p. |
| Collection : | Connaissance de l'inconscient |
| Sous-collection : | Le principe de plaisir |
| ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-07-282681-8 |
| Format : | 133 p. / 19 cm |
| 16 EUR | |
| Langues: | Français |
| Mots-clés : | JENSEN, Wilhelm. - Gradiva : fantaisie pompéienne |
| Résumé : |
Présentation de l'éditeur :
L’historien qu’est Christian Jouhaud «bégaie Gradiva» – l’héroïne du roman éponyme de Wilhelm Jensen – sur le mode des variations et fugues. Elle est «fragment» du discours amoureux de Barthes, «charme» chez Pontalis, modèle de peintre et maîtresse d’Eugène Delacroix au Maroc chez Alain Robbe-Grillet dans C’est Gradiva qui vous appelle ; «escort girl de la théorie du rêve et Jeanne d’Arc de la jeune psychanalyse» chez un Freud qui réussit à transmettre le «trouble poétique de cette histoire un peu niaise», en estompant – c’est un comble – la part la plus érotique du récit. Or Gradiva – c’est une vraie trouvaille de ce livre – n’est pas, voire pas du tout, celle que l’on croyait, et cela change tout – «l’intrigue de Jensen a une voie d’eau». Au bout d’une enquête qui ouvre sur le lecteur ordinaire de fiction qu’est Freud, l’auteur rendra malgré tout Gradiva, et nous avec elle, à l’énigme qu’elle est aussi : image intime et insaisissable – «la passante de toujours. Celle des ruines là-bas et celle de Paris, celle du trouble et de l’émotion incomprise, celle des Fleurs du mal». |
Exemplaires (2)
| Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
|---|---|---|---|---|---|
| 10021415 | JOU | Ouvrage | BSF Paris | Salle de lecture : Ouvrages A-Z | Disponible au prêt |
| 10021099 | JOU | Ouvrage | BSF Paris | ψ Réserve : Ouv. A-Z | Consultation sur place |
