Résumé :
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l'auteur propose l'hypothèse qu'il y aurait un rapport entre l'attrait, parfois addictif, pour les écrans des technologies de l'information et de la communication (T.I.C) et les failles ou impasses de l'intersubjectivité, telle qu'elle se joue au cours du "stade du miroir". En effet, la question de l'image y est particulièrement sensible, comme vectrice de la qualité de présence de la mère (ou de l'entourage) et ainsi de la capacité "subjectivante" au cours des interactions de cette période précoce de la vie. Quelques exemples cliniques et quelques conséquences pour les pratiques thérapeutiques illustrent le propos.
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