Abstract:
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Il s’agit ici de développer l’idée que si l’amour de transfert (voire de contre transfert) contient bien les strates d’un amour infantile névrotique, il est aussi autre, sans doute plus complexe. Ici, le travail d’un analyste dont l’amour sera « suffisamment bon » consistera à penser que le je de l’analysant « ne peut persister qu’en devenant autre, en s’altèrant, en acceptant de se découvrir différent de celui qu’il était et de celui qu’il est dans un actuel... toujours en mouvance » (Monique Lauret, « les accidents du transfert »)
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