Type de document : | Article : texte imprimé |
Titre : | Penser son origine après un génocide (2008) |
Auteurs : | / Daniel OPPENHEIM / Hélène OPPENHEIM GLUCKMAN |
Dans : | Sigila (n° 22, 2008) |
Article en page(s) : | pp. 149-158 |
Langues: | Français |
Mots-clés : | Origine ; Génocide |
Résumé : |
Il n’est pas facile de se situer dans son histoire familiale après un génocide pour ceux qui ne veulent pas laisser cet événement y faire origine. Leur effort pour retrouver la continuité de leur histoire, lui donner un sens qui ne découle pas seulement du traumatisme, éclaire la complexité de toute quête d’origine. Ce qui clôt la quête n’est pas seulement l’ultime savoir accepté comme suffisante vérité mais ce qui retisse le lien humain entre les vivants et les morts.
-- Abstract: People who do not want to see genocide as founding their family’s origins find it difficult to situate themselves in their family history. Their efforts to retrieve the continuity of their history and to give it a meaning stemming from something else than the trauma testify to how complex any quest for one’s origins is. This quest does not stop merely when definite knowledge is accepted as sufficient truth ; ending it calls for the creation of new human bonds between the living and the dead. |
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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20010187 | K07-5 | Revue | BSF Paris | ψ Réserve : Périodiques | Consultation sur place |