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Résumé :
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« Revenir à la faiblesse en nous et hors de nous, cela nous amène à redécouvrir une vérité cachée à notre époque de démonstration de force et de solitude : nous sommes affectés par l’autre ; nos actes ont un poids et une gravité, vis-à-vis de nous-mêmes et de la relation à l’autre. Sans cette relation vivante à l’autre, je ne sais pas qui je suis. La conscience de mon identité est pétrie de cette présence de l’autre ; autrui est au plus intime de moi-même. » Une réflexion sensible sur les moyens de retrouver l’humilité et la liberté des choses simples – de cultiver l’esprit d’enfance.
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